Si elle avait vécu dans le monde, on aurait parlé d’elle comme d’une précieuse du bon temps et de la meilleure qualité. […] La mère Agnès la rassurait ou du moins essayait de la consoler en lui citant son propre exemple ; car privée de l’odorat, disait-elle, dès l’âge de dix-huit ans, elle avait fort bien vécu depuis sans s’apercevoir de la privation.