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1260. (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre IV. L’écrivain (suite) »

Il avait vécu au milieu d’elle et savait comment on doit s’y tenir. […] Lisez encore ces trois lignes, vous emporterez avec leur souvenir de quoi songer toute une heure, car elles enferment toute une vie : J’étais libre et vivais content et sans amour ; L’innocente beauté des jardins et du jour Allait faire à jamais le charme de ma vie.

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