Duveyrier a raison de dire : « La civilisation, pour tout le monde, c’est la perfectibilité humaine en mouvement, c’est le progrès social vivant et grandissant, en chair et en os. » Je regrette que M. Duveyrier n’ait pas eu présentes, à ce moment, d’admirables pages de Napoléon qui sont, à mes yeux, la définition la plus vivante et la plus imagée que j’aie vue nulle part de la civilisation à l’œuvre et en marche.