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2158. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Avez-vous suivi leur mouvement de visage, lorsqu’au début la suivante a entonné son couplet célèbre : Le bon Dieu fasse paix à mon pauvre Martin ; Mais j’avais, lui vivant, le teint d’un chérubin. […] Aussi n’emportons-nous pas de la représentation, dans notre mémoire, une physionomie très distincte et très vivante. […] Il n’y en a pas, dans aucun théâtre, non pas même chez Shakespeare, il n’y en a pas de plus vivant, de plus profond, de plus original. […] Diafoirus sur son visage, qui en est, en quelque sorte, le commentaire vivant.

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