Enfin, il avisa, pour se divertir, d’aller voir les dames veuves de son temps et de sa connaissance, et tâcha à passer son temps doucement ; et, pour ce que le malheur des guerres lui ôtait la liberté de sortir la ville et s’aller promener à Ormesson, il loua un petit jardin, proche sa maison, où il s’allait promener souvent. […] Aussi, lorsqu’il prit possession de sa bonne ville, reçut-il très bien le président de la Chambre des comptes qui alla, le jour même, lui faire sa révérence avec ses collègues.