D’ailleurs Cyrus lui envoyait les tributs des villes qui se trouvaient aux mains de Tissapherne. […] Ni les champs ni la ville ne nourrissent plus le citoyen libre. À la ville comme aux champs, le travail est aux esclaves, la propriété est aux riches. […] La moitié des villes y étaient ruinées. […] Depuis César jusqu’au principat d’Auguste, soixante-trois villes avaient été données aux vétérans, et l’on sait ce qu’entre leurs mains devenaient les villes.