Ça avait été la fabrication d’une plaisanterie lourde, entêtée, patiente, continue, ainsi qu’une plaisanterie de petite ville ou une plaisanterie d’Allemand. […] Il y a quelque chose de plus mort que la mort ; c’est le mouvement de la place d’une ville de province. […] Car tout va aujourd’hui à Paris : les cerveaux comme les fruits ; et Paris est en train de devenir une ville colossale et absorbante, une cité — polype, une Rome au temps d’Aurélien. […] » On respire ici, dans cette ville nocturne, un air d’Hoffmann. […] Oui, il y a comme cela des moments durs… mais si nous recevions tous les phtisiques… Paris est une ville qui use tant… nous n’aurions plus de place pour les autres !