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176. (1929) Critique et conférences (Œuvres posthumes III)

» Dispersion devers un peu tous les quartiers de la ville imaginée. […] dans un prétoire d’une ville ou vingt ans auparavant… lues et applaudies ! […] Et ce sera, si vous le voulez bien, mon adieu à la noble ville d’Anvers. […] Le lendemain matin, nous errions à travers la ville ; le soleil brillait au-dessus de nos têtes. […] Cette dernière ville, proverbialement ville d’affaires, noire et splendide, un Lyon en plus grand, me frappa par son manteau de fumée et ses larges promenades sur les bords d’une rivière encaissée.

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