Ce sont les Phéaciens qui possèdent cette ville et cette terre ; et moi, je suis la fille du magnanime Alcinoüs qui reçoit des Phéaciens la force et la puissance.” […] Mais quand nous serons près de la ville qu’entourent un mur élevé et, des deux côtés, un beau port, l’entrée devient étroite. […] Une source y coule, et une prairie l’environne ; là sont l’enclos de mon père et son verger florissant, aussi loin de la ville que la voix peut s’en faire entendre. […] « “Quand tu jugeras que nous les aurons atteints, alors dirige-toi vers la ville, et demande la demeure de mon père, le magnanime Alcinoüs. […] Et maintenant le voilà mort, sans récompense et sans bruit, non loin de cette ville de Dieppe qu’il aimait, au pied d’une grande falaise, au bruit de l’Océan solitaire qui murmure autour de son cercueil.