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327. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Notice historique sur M. Raynouard, par M. Walckenaer. » pp. 1-22

Le goût du théâtre était très vif à cette époque ; on était las des Grecs et des Romains, et, depuis plusieurs années, aucune nouveauté n’avait réussi. […] À propos d’une querelle injurieuse et sans mesure, qui avait été faite par un jeune et vif érudit au digne M.  […] Mais ici le sentiment vif de l’équité l’a fait écrire comme il aurait parlé. […] Il était pressé, familier et brusque ; sa physionomie expressive s’animait d’un œil vif sous un sourcil fin et prudent.

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