Vous avez une bonne douzaine de chroniqueurs, jeunes ou vieux, chez qui vous retrouverez le même échauffement artificiel, le même désir vulgaire d’étonner, la même outrance facile, le même claquement de cravache, au reste le même vide et souvent la même insuffisance de style et, par endroits, de syntaxe. […] Par là il est bien de race latine ou de vieille race française. […] Plus je deviens vieux, dit le Nestor du Gil Blas, plus je pardonne à l’amour.