Ponsard dans sa Lucrèce, fait remonter son imitation plus haut que son siècle, en coupant le vin sabin du vieux Corneille avec l’eau pure de l’amphore de Chénier ou celle moins pure de sa propre cruche à lui, M. […] Ils font plaisir comme de vieux souvenirs. […] Bouilhet en lui disant qu’il est un vieux classique du Romantisme, et pourtant rien ne serait plus vrai.