Toute la tendresse et l’espoir du vieux Cosaque se concentrent dès ce moment sur son noble fils Ostap. […] Le vieux Tarass, resté avec une troupe affaiblie, se dispose à relever les courages. […] Enfin il prend un parti ; il va trouver, lui si altier, un vieux Juif auquel il a eu affaire plus d’une fois. […] « Que sentit le vieux Tarass, lorsqu’il vit son Ostap ? […] Le vieux Tarass se croit un bon chrétien à sa manière ; il est fidèle à la religion grecque orthodoxe dont il considère les Polonais catholiques comme des apostats.