Je sens tout à coup la jeune et sainte sève de la vie bouillonner dans mes nerfs et dans mes veines. […] Je ne puis m’élever vers ces sphères d’où la bonne nouvelle retentit ; et cependant, accoutumé d’enfance à cette voix, elle me rappelle à la vie. […] Je ne vis de ma vie rien de pareil. […] Qui ne l’a pas entendu une fois au moins dans sa vie ? […] Rien dans ma vie ne m’a enfoncé le trait plus avant que le repoussant visage de cet homme.