Une vie commune n’était plus possible ; mais la comtesse ne put arriver à une séparation régulière qu’après bien des efforts et moyennant des stratagèmes. […] Cette libre union de chaque jour qui ne devait finir qu’avec sa vie commença. […] On dirait qu’il ne peut se faire à l’idée de la vie, humainement heureuse, que va désormais mener sa charmante et si éprouvée comtesse : il cherche partout des punitions et des châtiments à ce qui réellement n’en a pas eu et ne méritait point d’en avoir. […] Ses pièces s’expliquent par sa vie. […] Qui donc, d’une si barbare manière, m’a séparé de la douce source de ma vie, des beaux yeux noirs qui m’ont conquis le cœur, et qui ont guéri de toute erreur mon esprit ?