Il a très bien décrit cette vie assez dure et fort magnifique : Nous avons laissé les gros équipages ; malgré cela, à chaque marche, on voit défiler pendant trois heures notre nécessaire le plus indispensable. […] C’est vers ce temps (1759) que les occupations littéraires de Grimm prirent plus de place et de développement dans sa vie.