Voici quelques-unes des premières lettres, où le caractère éclate tel qu’il sera toute la vie. […] Je vous dois donc sûrement la santé et probablement la vie. […] À présent je me dis : Si on me rend la vie trop dure, j’ai une retraite à Colombier. […] Que n’abrégez-vous la vie d’Alexandre et de César ? […] La vie que je mène m’abrutit.