la Vertu ne l’est guère plus brillamment. […] Où sont les sacrifices que sa vertu s’impose ? […] Cette prime à la vertu est-elle suffisante ? […] Car, si la vertu est riche, à quoi la reconnaîtra-t-on ? […] Je dis seulement que la vertu riche n’est vertu que dans la mesure où elle se dépouille, où elle refuse d’être riche.