Vertu, vice, religion, politique, art, industrie, les plus hautes sphères de l’activité humaine ne sont pour elle que des sujets, plus ou moins heureux, de trumeaux à badigeonner. […] La vie se compose de vertus. […] … » Et toute cette tirade contre l’hypocrisie possible de notre temps, refaite cent fois par tous les sacripants littéraires qui se font une vertu à eux du vice de Tartuffe et très indigne, d’ailleurs, d’un écrivain qui se connaît en choses sociales et qui n’a pas le droit de conclure contre les doctrines vertueuses de l’absence de nos vertus, montre mieux que tout le reste à quel point d’anxiété l’auteur de Madame la comtesse Du Barry en est arrivé, le malheureux ! […] Ce n’est pas tout qu’elle fût jolie, qu’elle eût les yeux de son état et les épaules de sa situation, ce n’est pas même tout qu’elle fût indignement calomniée comme si elle eût été une vertu et qu’elle valût mieux que sa fonction officielle : il fallait qu’elle fût encore quelque chose de plus pour M.