La servitude était devenue vertu. […] La nature lui en avait donné à la fois les vices et les vertus : un orgueil de dieu et un commandement de roi. […] On s’attacha à eux pour leur vertu, pour leur science et pour leur persécution. […] Mais cette faiblesse était alors si générale et si consacrée, qu’elle se confondait presque avec une vertu. […] De l’aimable vertu doux et puissants attraits !