Seulement, si vous admirez Racine plus que Shakespeare et Calderón, c’est une opinion que vous ferez bien de garder pour vous : la tolérance n’est pas la vertu des néophytes. […] Il avait jeté sa verve, son génie, sa couleur, sa hardiesse, sa sauvagerie, sa férocité, dans cette peinture trop sage, trop rangée, trop bourgeoise, où la propreté est considérée comme une vertu.