Il se répand un peu, et je crois que vous en serez surprise. » Le 21 août, quatorze jours après ce qu’on vient de lire, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Les amies de la voyageuse (mesdames de la Fayette, de Coulanges, d’Heudicourt, etc. […] J’ai composé un long chapitre pour dire ce que je viens de résumer en dix lignes ; mais ce chapitre est un assemblage de fragments tirés des écrits de mesdames de Sévigné et de Maintenon, et je n’ai pu résister au plaisir de les transcrire.