Le son de sa voix, on vient de nous le dire, était flatteur, insinuant ; il avait de la sirène dans la voix. […] Les personnes qui l’ont entendu savent que ce petit roman, qui n’a jamais été publié, était plein de pureté, de délicatesse ; ce ne pouvait être autrement, puisqu’il venait de Mme de Duras.