Je viens de relire le premier volume de vers publié par Auguste Vacquerie. […] Ce goût lui vient de son grand maître Corneille. […] Et le lecteur les boit avec l’avidité d’un voyageur qui vient de traverser le Sahara. […] L’autorité du comte de Mœllnitz et son honnêteté reconnue lui venaient de sa persistance dans son automatisme originel. […] Elle se précipite vers le Rhin, puis bat en retraite, et refait en sens contraire le chemin qu’elle vient de parcourir.