Il fallait absolument quelque nom de duchesse ou de marquise sur lequel un descendant n’eût pas le droit de venir réclamer. […] Venons, il en est temps, à la seule et vrai marquise ; nous ne parlerons plus que de celle-là désormais. […] Lorsque d’Alembert venait lui demander un matin de vouloir bien lui prêter la somme de « vingt-deux livres dix sous », elle lui prêtait cette somme juste, ni plus ni moins. […] Si l’on croyait à la métempsychose, on penserait que l’esprit de Montaigne est venu animer Arsène. […] C’est dans le cours de cette période morale déjà très avancée qu’elle rencontra vers 1781, ou chez son amie Mme de Tessé, ou chez une autre amie, Mme de Giac (l’ancienne duchesse de Chaulnes), Senac de Meilhan, alors intendant de Hainaut, et qui venait chaque année à Paris.