Une année avant qu’Ernest vînt habiter du collége à la maison, il paraîtrait qu’elle aurait fait une absence, et perdu, durant cette absence, une personne fort chère : elle portait du deuil au retour, et c’était précisément l’époque de la fameuse bataille de B… (Bautzen peut-être ?) […] Ernest lui-même qui est venu là, ma foi ! […] mon ami, crois-moi, il faut laisser venir le bonheur de lui-même : on ne le fait pas. […] On quitte Lausanne pour la campagne, et on se dispose à venir visiter la parente de France : voilà la première partie. […] Ces événements étaient déjà accomplis, lorsqu’une amie de Mme de Ferriol, Mme de Calandrini de Genève, vint à Paris, et s’y lia d’une étroite amitié avec Mlle Aïssé.