que son frère Joseph vînt en France, qu’il accablât de questions les époux, qu’il morigénât son royal beau-frère, pour qu’un tel état de choses cessât. […] Le sérieux lui viendra par les choses, non pas les livres. […] Je viens d’écrire trois lignes à M. Necker pour le faire venir demain à dix heures, chez moi ici. […] Marie-Antoinette qui ne vient qu’en second, comme elle nous a dit, ne songe pas à en détourner Louis XVI ; elle n’est pas assez convaincue elle-même pour cela, ni assez pénétrée des nécessités de l’opinion.