Les fragments qui nous sont venus des fameux rhéteurs grecs sont illisibles. […] Est un moraliste, pour ces gens-là, le premier venu qui écrit un catéchisme de morale, comme saint Lambert ou comme Franklin. […] Ce dont je le féliciterai comme d’un succès utile à la cause de l’Église, c’est d’avoir élargi la chaire chrétienne de sorte que les accents qui en viennent porteront plus loin.