Le reste ne sait ni d’où il vient, ni où il va ; il cède aux agitations fébriles qui l’entraînent, peu soucieux d’attendre et de délibérer. […] Vous vous épuisez dans le vide, et votre heure est venue. […] Jamais la pensée, surexcitée outre mesure, n’en était venue à un tel paroxisme de divagation. […] Il vint, chanta et fut adoré. […] Pour mieux nous en convaincre, les Châtiments, les Contemplations, la Légende des Siècles nous vinrent du fond de l’exil.