À l’époque où ces hommes sont venus, la France épuisée, vaincue, conquise, hélas ! […] Quand donc viendra celui qui lui dira : Lazare ! […] Quand la mort viendra le réclamer, il mourra tout entier, et nos enfants ne sauront même plus son nom. […] nous sommes loin de cette fraternité qui viendra plus tard ; mais que nous ignorons encore ! […] Celui qui viendrait à cette heure pour renter les poëtes ferait rire de pitié.