parce que leurs armes ne valaient rien. […] Vingt pages que l’on tire de soi, vingt vers où l’on met son âme, valent mieux que des volumes de critique.
parce que leurs armes ne valaient rien. […] Vingt pages que l’on tire de soi, vingt vers où l’on met son âme, valent mieux que des volumes de critique.