Telle nouvelle à la main vaut, par le tour, nos vieux contes, et affirme bien mieux un écrivain que tel article de Revue si long et si vanté. […] Je sais bien que, à parler généralement, une traduction en vers est une mutilation aussi, et que, dix-neuf fois sur vingt, mieux vaut une traduction en prose. […] Mais si l’influence extérieure est nulle, la prétention est considérable, monstrueuse, inouïe, et, par là, vaut qu’on la signale. […] Féval, ne vaut-elle pas, comme imprévu, la péroraison de M. de Sacy : « Une ère nouvelle commence, je suis de ceux qui ont foi en l’avenir ? […] Mieux vaut lui laisser ce petit embarras que de se briser soi-même sur l’écueil. » M.