Or, justement, l’Angleterre et l’Allemagne pullulaient de revues, sérieuses et variées, véritables encyclopédies, mensuelles ou hebdomadaires, de l’esprit humain. […] Faut-il invoquer le témoignage de ceux qui sont sortis de sa Revue sans esprit de retour, ou de ceux qui en sont sortis pour y rentrer, sous l’empire de je ne sais quelle terreur ; car Buloz exerce sur quelques-uns de ses écrivains un véritable terrorisme.