Il a débuté dans les Lettres par des Eloges historiques, tels que ceux du Roi Stanislas, de Charles V, de Louis Dauphin, de Fénélon, qui annoncent des connoissances, de l’esprit, le talent de s’exprimer avec autant de noblesse que de clarté ; mais dont le style dépourvu en général de chaleur & de nerf, fait augurer que cet Auteur aura de la peine à parvenir à la véritable éloquence. […] Avec de la modestie, le vrai talent se défie de la fausse gloire ; avec de la docilité, il profite des avis qui l’éclairent, & parvient, sans intrigue, à la véritable.