Il y était poussé par sa véritable nature, qu’il cherchait à connaître et évitait de contrarier. […] Dans leurs tendances, et nullement dans celles des princes de l’époque […] était le véritable avenir de l’Empire allemand. […] C’est pour cela que son chevalier à la main de fer, comme type du véritable honneur allemand, fascine encore aujourd’hui les spectateurs, si même ils ne connaissent pas exactement les véritables circonstances dans lesquelles vécurent et agirent le chevalier et ses amis. […] À l’origine, une aventure personnelle authentique dont nous avons pu indiquer le développement et marquer les caractères : banale, en somme, à peu près insignifiante par les véritables héros, tout à fait insignifiante par leurs véritables sentiments. […] Mais ce n’est point assez pour les fanatiques de Goethe, car cela ne suffirait pas pour assurer la véritable vie au plus populaire de ses ouvrages.