Valérie, au reste, par l’ordre des pensées et des sentiments, n’est inférieure à aucun roman de plus grande composition ; mais surtout elle a gardé, sans y songer, la proportion naturelle, l’unité véritable ; elle a, comme avait la personne de son auteur, le charme infini de l’ensemble. […] » Si le noble, l’intéressant, mais trop fragile Alexandre avait été un Charlemagne véritable, un monarque en tout à la hauteur de sa fortune, Mme de Krüdner était plus que justifiée : mais alors eût-elle été nécessaire ?