s’écrie-t-il, pauvre société, où le cœur n’a de véritables jouissances que dans l’oubli de tout devoir et de toute raison74 ! […] l’amour, le grand, le véritable amour, n’est-il pas la charité chrétienne appliquée et comme concentrée sur un seul être ? […] Nous avons eu déjà occasion de parler des œuvres dramatiques qui ont inauguré dans l’art moderne cette ère de véritable décadence : Lucrèce Borgia, Le Roi s’amuse, Marie Tudor, Angelo, Antony. […] Bien loin que l’esprit de famille étouffe le patriotisme et l’amour de l’humanité, il est l’école véritable de l’un et de l’autre. […] Ces femmes, auxquelles la littérature a fait sous un nom bizarre une honteuse célébrité, ne sont-elles pas, aussi bien, les prêtresses véritables de la religion nouvelle ?