Je dirai tout d’abord qu’ils n’y répondent qu’en partie ; mais, tels qu’ils sont, ils achèveront de déterminer avec précision, vérité, et sans exagération aucune, dans tous les esprits qui se laisseront faire, les traits de cette belle et juste figure de Bossuet. […] Pénétré de la vérité et de la divinité de l’Écriture, Bossuet la lisait, la méditait sans relâche, et y versait, en l’interprétant toutes les richesses de sa jeune imagination et de son cœur. […] Dans cette affaire de Fénelon, Bossuet fit son office de docteur et de gardien incorruptible de la vérité : c’est un aspect différent et non moins essentiel de ce grand esprit, de cette âme toute sacerdotale de Bossuet.