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12. (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492

Ainsi il est possible de concevoir que le jour et la nuit ne soient plus dans les rapports où nous les voyons ; donc cette vérité, le jour succède à la nuit, est une vérité très générale, peut-être même une vérité universelle, mais non pas une vérité nécessaire. […] Pourrais-je ne pas admettre cette vérité ? […] La vérité est incompréhensible sans Dieu, comme Dieu nous serait incompréhensible sans la vérité. […] Avons-nous découvert quelque vérité ? […] Oui, l’âme aime la vérité.

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