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1103. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « EUPHORION ou DE L’INJURE DES TEMPS. » pp. 445-455

Théocrite, dans ses idylles même les plus agrestes, n’a rien qui approche de la vérité nue et de la crudité inexorable dont ce bel-esprit asiatique de Parthénius et, à son exemple, le délicat Virgile ne se firent pas faute en ce singulier échantillon. […] Je ne sais si tous ces exemples, et celui d’Euphorion en particulier, le tendre et gracieux poëte (car j’aime à le croire gracieux et tendre), de ce poëte tout entier enseveli, ne m’ont point un peu trop frappé l’imagination, mais je voudrais bien être le docteur Néophobus 138 pour oser lancer d’un air d’exagération certaines petites vérités.

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