Ce Poëte s’est élevé à lui-même un trophée immortel, par les Hymnes composées à l’usage de l’Eglise, adoptées dans le plus grand nombre des Dioceses. […] On met tout cela sur le compte d’un Religieux dont les Poésies sont consacrées par l’usage que quelques Eglises en font dans les Prieres publiques, & dont la mémoire ne devoit pas être flétrie par un Libelle ».