Dans un tableau d’Hogarth, qui fait partie de la série de son Mariage à la mode, et qui représente un laboratoire ou un capharnaüm d’apothicaire, on voit un appareil d’une complication singulière et presque menaçante ; on s’approche pour l’étudier ; et on s’aperçoit, ou du moins on croit s’apercevoir, car il ne faut répondre ici de rien, que cet appareil si savant, dont on ne peut s’empêcher d’admirer l’inventeur, n’a d’autre usage que de servir à déboucher les bouteilles. […] On ne voit pas que la science de l’embryogénie, quoi que l’on puisse dire, soit d’un grand usage à un géomètre, ni, que d’avoir étudié les propriétés de la cycloïde, cela prépare un homme à exceller dans l’anatomie des mollusques.