Il est épicurien sans avoir l’espoir ou nourrir le rêve d’un épicurisme universel. […] A cette époque on croyait le suffrage universel révolutionnaire. C’est le suffrage étendu sans être universel, c’est l’adjonction des capacités qui l’eût été. […] Il l’est avec cette aggravation, si l’on veut, qu’il souhaite le suffrage universel à deux degrés. […] Il ne peut pas être universel.