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850. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre V. Séductions pour la compréhension de la psychologie indigène. — Conclusion »

. — « Il n’est personne au monde qui ne trouve plus fort que soi » (Hâbleurs bambara et divers analogues signalés plus haut) […] Nous trouverons moins d’exemples d’amour paternel que d’amour filial, en ce qui concerne le père du moins. […] — Si nous écartons d’emblée les contes — relativement peu nombreux dans ce recueil — d’inspiration musulmane, on trouvera peu d’indications sur les idées religieuses des noirs. […] — Si, de l’étude des sentiments, nous passons à celle des idées, nous trouverons encore dans les contes des indications utiles à recueillir. […] Le lièvre, notamment, a toute la sympathie de l’auditeur des contes quand il trouve moyen de tirer profit du travail auquel il a refusé de participer (V.

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