il avait besoin de compagnons pour appuyer sa faiblesse, et il les trouva. […] Il s’est imprégné d’eux tous, et s’ils l’ont tant loué, s’ils l’ont trouvé si poétique et si agréable, c’est peut-être parce qu’il avait quelque chose d’eux ! […] Seulement, après y avoir regardé, elle ne trouve dans ce Gérard de Nerval, exagéré par ses compagnons de jeunesse, que des qualités secondaires, — que (tout au plus !)