Moi-même j’ai vu une seule fois Courier, et c’était environ trois semaines, si je ne me trompe, avant sa mort : il était à Paris, d’où il partait le lendemain, on l’avait invité à une soirée des rédacteurs du Globe ; il y vint ; on l’entourait, on l’écoutait. […] C’était, comme vous voyez, un Cupidon dérobant les armes d’Hercule, morceau d’un travail exquis, et grec si je ne me trompe.