/ 1946
548. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre septième »

Pour un esprit attentif, ce sont des défauts bien autrement graves que les grosses fautes ; car les grosses fautes ne trompent personne. […] Sur Pascal, il ne s’est pas trompé seulement par passion antichrétienne. […] C’est vouloir se tromper que d’en faire honneur à ce qu’on appelle son grand style. […] Voici, par exemple, un homme qui professe, entre autres maximes, « qu’on ne gagne point les hommes sans les tromper ; que l’honneur est la chimère des fous, qu’il y a peu de sciences certaines ; que l’homme du monde le plus digne d’envie est celui qui a le plus d’empire sur l’esprit d’autrui ; que l’homme le plus heureux et le plus libre est celui qui a le moins de préjugés et de devoirs. » Quel est au juste ce personnage ?

/ 1946