et croyez-vous que Vinet se trompât quand il y voulait voir la doctrine ou au moins l’une des bases de la doctrine des Pensées ? […] Il importe beaucoup de ne pas s’y tromper. […] Le Sage ne s’y est pas trompé. […] Les contemporains ne s’y sont pas trompés, ni surtout les contemporaines. […] On s’est donc encore trompé, selon nous, quand on a cru pouvoir, de notre temps, transporter du chevalier à Manon le principal intérêt du roman.