Le besoin d’aimer, qui fut toujours le premier chez elle, la conduisit à faire succéder à des amis qu’elle avait perdus d’autres amis plus jeunes qu’elle choisit avec goût, et dont la nouvelle affection la trompait sur ses pertes. […] L’auteur est loin de refuser au ministre espagnol toute qualité affectueuse : « Nous nous trompons souvent dans nos jugements, quand nous penchons trop à supposer qu’un homme est tout à fait, est complétement ce qu’il est beaucoup.