/ 1859
9. (1899) Esthétique de la langue française « Le vers populaire  »

Il a restitué ainsi un curieux chant monorime de la Passion : La passion du doux Jésus, | qu’est moult triste et [dolente], Ecoutez-la, petits et grands, | s’il vous plaît de [l’entendre]. […] La Triste Noce, assez peu connue, est, dans sa simplicité tragique, une des plus mémorables parmi les grandes ballades françaises et, ce qui est fort rare, elle paraît intacte et complète : J’ai fait l’amour sept ans, Sept ans sans en rien dire, Ô beau rossignolet, J’ai fait l’amour sept ans Sept ans sans en rien dire. […] C’est une triste nouvelle, Ô beau rossignolet, La rose que j’apporte, C’est une triste nouvelle. […] quelle triste noce. […] quelle triste noce.

/ 1859